C'est une véritable opportunité de communiquer, par ce truchement, à un public curieux et observateur. On peut toujours se poser des questions sur la créativité des personnes et leur façons de vivre, mais le plus important c'est le partage humain qui en résulte.
Avec la mise en place de ce club d'affaires, je dois dire, assez original, il va y avoir sûrement des idées qui vont germer chez ceux et celles qui veulent en faire leur business. Mais la finalité du projet ce n'est pas de gagner de l'argent avec cet outil mais d'en faire gagner à ceux qui y participent. N'oublions pas que chaque chef d'entreprise à son entreprise et que c'est leur entreprise qui doit gagner de l'argent, pas le club d'affaires qui reste un outil de réseau. Ah je ne vous l'ai pas dit : je suis aussi chef d'entreprise mais pas du projet. Nous partagerons dans d'autres occasions, au club ou je trouverais sûrement mon bonheur selon mon choix sur la session chefs d'entreprises ou de particuliers.
Faisons un retour en arrière si vous le voulez, pour les plus jeunes comme moi 60 ans (il faut en rire) nous avons connu les CODEC pour Consortium des épiciers du centre. Qui était une ancienne enseigne française de magasins supérettes et supermarchés, appartenant à un groupe coopératif de commerçants.Un peu d'histoire ne fait pas de mal.
Vous verrez par la suite où je veux en venir.
L'enseigne voit le jour en 1924 et se développe à partir des années 1960.
Après des difficultés financières rencontrées à la fin des années 1980, le groupe Codec est racheté en octobre 1990 par le groupe Promodès.
N'ayant jamais pu se développer après son rachat, l'enseigne est progressivement abandonnée au profit de shopi à la fin des années 1990 jusqu'à sa disparition totale en 2003. Le premier magasin de cette enseigne en libre service a vu le jour dans les années 50 sur une surface de 100m2 assez pour avoir du lien social sur le grand nombres de magasin en France. (sources Wikipedia)
Aujourd'hui les hypermarchés et autres enseignes qui proposent des caisses-robot totalement impersonnelles, vous proposeront bientôt, dans un futur proche, de ne plus avoir de lien social. Sans le savoir ou en le sachant, les industriels vont utiliser une consommation directe sans aucun lien de contact humain avec les consommateurs.
Ils considéreront que de faire des réunions est une perte de temps et, surtout, d'argent.
Ceux qui ne connaissent pas, pour certains d'entre eux, c'est qu'il faut savoir prendre le virage au bon moment, sans oublier que le consommateur est humain et qu'il recherche un service humain.
Tout bon chef d'entreprise vous le dira :
rien n'est plus important que de parler avec le coeur à vos clients, de chercher avec eux des solutions afin de créer un lien de service.
C'est pour cela qu'il faut apprendre des erreurs du passé et de la demande des véritables patrons qui sont les consommateurs : donc nous.
Certains hypermarchés sont revenus aux sources des petits magasins de proximité en libre service devant une forte demande des consommateurs seniors.
Consommer moins, mais mieux consommer. C'est pour vous dire la demande de certains chefs d'entreprises à vouloir garder ce lien social déjà entre eux, puis de le partager avec les consommateurs.
Nous pourrions parler de nombreuses histoires d'entreprises : celles qui ont tout perdu et celles qui ont rebondi.
Un jour, un PDG d'une très grande entreprise, tout en gardant son droit de réserve a ainsi exprimé son ressenti :
"Vous savez une entreprise, quelque soit sa taille, a un début et une fin, soit elle disparaît, soit elle fusionne, le plus souvent pour réduire ses effectifs, soit elle trouve un rebond de créativité avec une anticipation stratégique sur 15 ans"
Je ne donnerai pas le nom du chef d'entreprise, mais il a fait partie des 40 plus grandes entreprises françaises. Celles qui le plus souvent achètent les plus petites entreprises start-up après les avoir aidées. Après un petit aparté en histoire et d'opinions diverses, je reviens sur le projet, car c'est bien le sujet du titre de cette chronique :
Partageons ensemble pour trouver les meilleures idées avec les outils existants que l'on découvre sur internet. Pour cela il faut naviguer sur la toile, regarder les créatifs.
Je parle des développeurs qui ont compris : pour faire du payant il faut faire du gratuit. C'est donc en observant et partageant que l'idée a fait le chemin du créatif, il fallait un outil de démarrage pas cher et de présentation propre.
J'ai fait le tour des cuisines est j'ai trouvé une plate-forme à l'étranger.
C'est vrai on aurai pu faire ça en France, mais bon c'est encore à l'étranger que nous avons trouvé.
Je vous rassure l'entreprise est en France, mais le patron est à l'étranger.
On s'adapte quand le produit est correct pour un démarrage, pour rester fidèle au démarrage du moins en ce qui concerne le projet après les choses évolueront avec le temps.
Tout dépendra de notre communauté d'entrepreneurs qui seront des "GV" qui veux dire "Gentils Visiteurs". Non ! on est pas au club med, en fait c'est ceux qui apportent les lieux de rencontres et le savoir faire de nos chefs d'entreprises.
Oui un club d'affaires, c'est d'abord des chefs d'entreprises, qui font des affaires entre eux.
Car chaque entreprises a besoin de la compétence et de la différence de services.
Des partenariats entre entreprises peuvent se faire : on appelle ça les relations d'intelligence économique, pour anticiper les évolutions du marché, les menaces et les opportunités que peut rencontrer une entreprise ou un secteur d'activité.
Tout comme les OPA amicale ou inamicale, la vision du chef d'entreprise est importante dans la relation humaine de qualité.
L'importance d'une relation est "l'ethos" façon simple de l'humain à se comporter.
Le lien social fait partie, pour certaines personnes, d'une discipline, c'est en apprenant à observer et à rencontrer que l'on se forge une opinion et non pas - comme on a pu l'entendre - avec des critiques malsaines et destructrices de certains opposants à tout projet.
Ainsi, l'outils qui sera mis à la disposition des entrepreneurs leur permettra de se rencontrer. N'hésitez pas à faire circuler l'information à la partager et, pourquoi pas à venir apporter votre expérience d'entrepreneur dans ce projet.
On connaît ce proverbe qui est une métaphore : " les petits fleuves peuvent devenir de grandes rivières " . Le symbole du petit ruisseau qui peut avoir un très gros impact, dans son utilité à vous apporter de la richesse dans votre action d'entreprendre et de rencontrer.
Nous ne manquerons pas de faire des "orage d'idées" et si vous avez des lieux intéressants, allez-y ... C'est ici que cela se passe : Les meilleurs projets sont ceux que l'on partage. v. art : Olivier animateur du site.